Dans le cratère qui résulte de la récente exploitation du terril du XVIII, plusieurs espèces invasives sont particulièrement sensibles : le séneçon du cap, le buddleia et dans une moindre mesure le cerisier tardif. En terme de gestion des espèces invasives, la prévention est la meilleure technique de lutte : éviter qu’une zone ne soit infestée en éliminant les premières pousses dès qu’elles font leur apparition. Une fois qu’une espèce invasive est implantée, il devient, malheureusement, très difficile de l’éliminer.
C’est pourquoi depuis le printemps 2013, nous nous sommes attelés à l’arrachage systématique de toutes les pousses invasives que nous rencontrons dans cette zone. Ce travail un peu fastidieux pourrait sembler monotone, mais il n’en est rien grâce à l’ambiance de groupe créée par cette tâche que nous menons en groupe et grâce au magnifique microclimat et aux paysages superbes que l’on retrouve dans cette zone de notre très belle réserve.
1 commentaire:
Bravo pour toutes ces initiatives. J'ai eu l'occasion de visiter récemment le site : il est d'une beauté et d'une diversité surprenantes.
Enregistrer un commentaire